locus sonus > audio in art
Lab 2007/2009: Julien Clauss, Alejandro Duque, Scott Fitzgerald, Jérôme Joy, Anne Roquigny, Peter Sinclair.
 
 
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// 2008/11/02 - 19:35 / 90.4.88.190
March 15, 2008


!Topics - Glossary
''(Jerome Joy)''
''merci de compléter (in alphabetical order)''

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|tl ACCLIMATATION|l L'acclimatation renvoie à une mise en résonance des ambiances et des conduites, si bien qu'il devient impossible de dissocier les unes des autres. Dans ce cas, l'activité des citadins s'accorde autant que possible au contexte sonore du lieu, elle ne fait qu'exprimer à sa façon l'ambiance existante. D'une certaine manière, le public devient l'ambiance et l'ambiance le public. L'acclimatation relève plutôt d'une synergie entre les sens faisant appel à l'aspect émotionnel d'une situation. Une sonorité, une luminosité ou une odeur sont ressentis selon un même mouvement qui confère une unité au monde sensible. L'acclimatation convoque aussi l’être-ensemble analysable en termes d'intercorporéité. Ici se joue l'intrication étroite entre les corps, comme s'ils étaient reliés entre eux par des fils invisibles mais néanmoins très prégnants. "Se fondre dans le paysage" désigne l'opération à partir de laquelle les individus adoptent des rythmes et des styles de conduites partagés, variables selon les lieux et les circonstances. Ces manières d'être communes s’appuient sur des formes de motricités collectives. Pour résumer, "se fondre dans le paysage" désigne l’opération à partir de laquelle un environnement acquiert unité et cohérence. (Jean-Paul Thibaud)|
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|tl AMBIANCE|l la notion d'ambiance permet de penser la détermination mutuelle de l'environnement construit et des pratiques sociales : les ambiances mobilisent le corps du passant et le mettent en prise avec le site. L'environnement urbain n'est pas définissable comme un contenant neutre et homogène dans lequel s'inscriraient des pratiques, il relève au contraire d'un milieu écologique hétérogène formateur de pratiques qui l'affectent en retour. Les façons d'agir en public sont elles-mêmes productrices d'ambiance dans la mesure où elles amplifient ou neutralisent certains phénomènes sensibles, exacerbent ou altèrent certaines propriétés de l'environnement construit. (Jean-Paul Thibaud)|
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|tl AMBIANCE ACCORDÉE|l (régime d'emprise des ambiances) . L'ambiance émerge par une mise en accord du lieu et des conduites qu'il supporte : les phénomènes sensibles traduisent l'affinité étroite qui se noue entre les impressions et les expressions, entre ce qui est ressenti et ce qui est produit, entre le sujet et le monde. Dans ce cas, l'ambiance est thématisée en termes d'Umwelt et engage une écologie du monde vécu. (Jean-Paul Thibaud). (acclimatation)|
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|tl AMBIANCE ALTÉRÉE|l (régime d'emprise des ambiances) . L'ambiance émerge par une mise en condition du lieu par les pratiques sociales elles-mêmes : les phénomènes sensibles sont l'objet d'un recadrage issu de l'accomplissement des actions en cours. Dans ce cas, l'ambiance devient avant tout un instrument de mise en forme des situations sociales et relève à ce titre d'une écologie des relations en public. (Jean-Paul Thibaud). (conversion)|
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|tl AMBIANCE MODULÉE|l (régime d'emprise des ambiances) . L'ambiance émerge par une mise en variation du lieu en fonction des conduites auxquelles il se prête : les phénomènes sensibles fluctuent dans le temps et se diversifient selon les activités. Dans ce cas, l'ambiance relève plutôt de l'actualisation de prises à l’action (affordances) et engage une écologie de la perception située. (Jean-Paul Thibaud). (inflexion)|
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|tl AUDIO URBAIN ET ÉTENDU|l Une étude d’expérimentations artistiques basées sur l’espace sonore à multiples échelles (field spatialization)|
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|tl CONTEXTURE SENSIBLE|l Comment rendre compte des variations et permanences sensibles d'un espace public ? En quoi les ambiances urbaines procèdent-elles d'une création continue ? De quelle manière les pratiques sociales participent-elles à la sensibilisation de la ville ? De telles questions visent à rendre compte de la manière dont une ambiance sonore se forme et se déforme, à comprendre en quoi et comment le sensible fait contexte. (Jean-Paul Thibaud)|
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|tl CONVERSION|l La conversion renvoie au travail d’altération de l'ambiance du lieu par le public. "Faire preuve de discernement" consiste à rendre intelligible l'ambiance dans laquelle on se trouve malgré les énigmes perceptives rencontrées. Le travail de cadrage auquel procèdent les passants permet de donner un sens commun à un environnement partagé et de continuer à pratiquer ensemble un espace public. "Donner le ton aux situations" consiste à jouer du pouvoir expressif des conduites sociales pour conférer une certaine physionomie aux activités en cours. De ce point de vue, l’ambiance n’est plus l’apanage du lieu mais s’incarne aussi dans les formes de sociabilité elles-mêmes. Loin d’être désaffectées, celles-ci participent de plein droit à la sensibilisation du monde ambiant. (Jean-Paul Thibaud)|
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|tl CONVOQUER UN PUBLIC|l Différentes manières d’abord de soutirer un auditeur d’un récepteur, puis de lier (ou pas) cet auditeur à d’autres, dessinant ainsi diverses géographies de configurations de public. (Samuel Bordreuil)|
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|tl DOUCHE SONORE|l haut-parleur parabolique. Une "douche sonore" est un dispositif comprenant un réflecteur conique (parabole) équipé d’un haut-parleur tourné vers son centre, et permettant de délivrer un message sonore en une zone très restreinte (précisément le périmètre sous le dispositif) en provoquant un effet saisissant de proximité. %%Ceci permet d'avoir une autre écoute et conscience de son environnement sonore. Cette perception par l'écoute est à la fois discrète - le dispositif s'inscrit dans les espaces en proposant une organisation visuelle - et discrétisée, dans le sens où peuvent se cristalliser des pratiques individuelles et partagées d'auditeur.|
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|tl ÉCOUTE CAGIENNE|l John Cage a sans doute le plus œuvré en faveur de l’écoute des sons (sons et bruits confondus), s’efforçant de tout intégrer à sa musique et d’intégrer sa musique au tout, rejetant tout schéma préexistant, allant jusqu’à faire écouter le silence. Cage ne cherche nullement à faire percevoir – tant visuellement qu’auditivement – le processus qui se substitue dans sa musique à l’intention du compositeur, car ce serait remobiliser la mémoire : le processus est seulement indispensable pour qu’adviennent des sons qui, à l’écoute, doivent être entendus sans relation entre eux. (Jean-Claude Moineau) %%Pour Locus Sonus: le bruit intact et physique du monde perce le monde virtuel (ici celui de l’écoute et des éloignements) par une perception presque cagienne dans laquelle l’écoute est modifiée par les échelles cumulées (distances, espaces réels, espaces virtuels).|
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|tl ESPLACES|l La dislocation est l’événement qui affecte l’espace contemporain. Mais on peut dire tout aussi bien que cet événement était contenu de manière immémoriale dans l’espace lui-même qui est, par définition, une puissance d’écartement et de dispersion. Les mythologies du Lieu, les représentations du Monde empêchaient toutefois cet événement d’éclater au grand jour. Cette survenue de la dislocation n’a rien, en soi, de catastrophique. Elle signifie simplement que les espaces désormais flottent librement, détachés, insuperposables à quelques image du monde que ce soit, désamarrés de tout système cosmique, de toute croix orientante. Ni lieux, ni non-lieux, des espaces – des esplaces – naissent et meurent au travers de processus complexes : construction, architectures, devenirs qui emportent la citadinité, gestes et attitudes d’habitants et de passagers. La description de ces espaces relève donc à la fois d’une poétique de l’architecture et d’une reprise de la question concernant le sens de l’habitation du monde. Benoît Goetz, La Dislocation, http://www.editions-verdier.fr/v3/oeuvre-dislocation.html |
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|tl EXPÉRIMENTATION CONTRÔLÉE|l (méthodologie) les productions du laboratoire sont de l’ordre de la réalisation artistique, à partir d’une hypothèse commune discernant un ou des problèmes qui révèlent des instabilités à l’endroit où cela semblait ajusté et qui rendent lisibles ou problématisent des éléments des contextes associés ou environnants : technologiques, techniques, sociaux, publics, etc.)|
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|tl EXTRANAUTE|l - a person, place, situation that involves transcultural recombinations (?)|
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|tl FIELD SPATIALISATION|l Terme que nous avons adopté qui combine la notion de'' field recording ''(enregistrement ambulatoire) (littéralement in the field : sur le terrain) avec la notion de spatialisation plus généralement liée à un dispositif fixe dans un espace intérieur. Une traduction littérale serait: spatialisation de terrain. %%Cette notion déploie une réflexion et des pratiques sur des registres prenant en compte une variété d’échelles : allant du streaming à l’acoustique, à la téléphonie, à la radiophonie, et aux espaces virtuels. Les problématiques qui s’ouvrent avec cette notion de field spatialization permettent de mieux interroger et discerner les dimensions impliquées dans les pratiques sonores d’espace et en réseau.|
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|tl FLUX|l Les flux ne sont pas seulement des processus linéaires et isolés mais qu'ils se constituent au sein de totalités relatives dans lesquelles se dépense et se dispense de l'énergie sur le mode de la circulation et du déplacement, mais aussi de la résistance et de la captation. Les flux manifestent de rythmes qui ne se réduisent pas à de la vitesse ou de la lenteur, mais qui engagent d'autres dimensions qui relèvent par exemple de la tension et du débit. Ce qui caractérise le flux est peut-être moins le déplacement linéaire dans l'espace que la variation des états. Un flux, ce n'est pas seulement un jet, mais une modulation. Le flux est une variation dans une redondance, une rythmicité. Il engage des instances de filtrage, des transformateurs qui lui opposent ou lui imposent leur propre logique. Le flux est ce qui traverse, et par là même ce qui est capturé, accumulé, transformé, encodé. Il n'est donc pas seulement un déplacement d'objets, de signes ou de quantités d'énergie, il est ce qui circule, mais aussi ce qui circule entre l'énergie et le code, la force et la règle, l'innommable et le nombre. Il n'est pas immédiat, mais bien au contraire il est ce qui est mis en oeuvre dans les médiations, ce qui y travaille et ce qui les travaille. Il y a nécessairement de la perte et du reste, ce qui donne corps à la temporalité des flux, qui ne consiste pas seulement dans leur rythme ou leur vitesse, mais dans ce qui s'y creuse de déperdition, dans ce qui échappe, ce qui fuit. (Jean Cristofol)|
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|tl FLUX-PAYSAGES|l L'un des intérêts les plus immédiats des streams que Locus Sonus nous propose comme autant de masses temporelles, et qui sont moins des paysages sonores que des flux-paysages, c'est bien le temps qu'ils imposent à l'écoute, c'est bien ce qu'ils confrontent du temps dans lequel ils se constituent peu à peu, comme des événements à la fois cumulatifs et fuyants, et de la présence longue qu'ils introduisent dans notre existence immédiate. Pour reprendre encore une expression de Deleuze, ce sont des "blocs de durée". Mais ce qui compte ici, c'est la façon dont ces blocs ne se proposent pas comme des entités constituées et définies une fois pour toutes, mais à la fois comme de la matière à travailler et comme un fluide en perpétuel débordement. Travailler cette matière, c'est la mettre en situation, la réinventer dans sa réalité de durée, non pas la contenir ni l'arrêter, mais la proposer comme une condensation provisoire. C'est travailler ce qui s'accumule comme ce qui fuit et la relation entre ce qui s'accumule et ce qui fuit et c'est inventer les agencements et les situations qui le permettent. (Jean Cristofol)|
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|tl FOLKLORE|l questions : %%- are the indices which really indicate origine (location) of a sound/stream folklore ? %%- being a quality of the "extranaut" that of dwelling translocal spaces, tracing a territory for a contemporary folklore or whiping the notion from the map ?|
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|tl INFLEXION|l L’inflexion renvoie au pouvoir des citadins à moduler les ambiances urbaines. La marche constitue à cet égard un exemple tout à fait remarquable dans la mesure où elle permet d'infléchir la plupart des qualités sensibles d’un lieu. A cet égard, la marche est plus ou moins audible selon les lieux traversés, le sol et son entourage jouant une fonction d'amplificateur ou d'amortisseur des bruits de déplacement. Le sol constitue ainsi un instrument de modulation sonore du lieu dont et avec lequel joue le public. Pour résumer, « faire acte de présence » consiste à marquer de son empreinte l'ambiance du lieu en y laissant une trace perceptible ou en se conduisant de façon singulière ou inattendue. De ce point de vue, l'ambiance n'est pas réductible à la somme des productions ou expressions individuelles, elle engage plutôt un va et vient continuel entre ce qui est ordinaire et ce qui devient remarquable. A cet égard, les micro-événements de la vie quotidienne sont là pour nous rappeler qu’une ambiance peut à tout moment être requalifiée. (Jean-Paul Thibaud)|
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|tl JOUABLE|l voir aussi : interprétable, agogique, ...|
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|tl LOCAL/REMOTE|l |
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|tl LOCATIVE MEDIA|l On parle de plus en plus de Locative Media (qu’on pourrait traduire par média localisé) pour désigner des systèmes d’informations numériques dotés de coordonnées géographiques permettant aux mondes physique et numérique de s’interpénétrer à leurs points de convergence. (média et dispositifs de communication liés à la localisation (rendus possibles par les technologies GPS / géolocalisation, RFID, informatique portable, téléphonie mobile, syndications sur les réseaux, etc.)|
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|tl ... MEDIA|l '__Media__' est le pluriel du mot latin '__medium__' (milieu, intermédiaire). Le terme est utilisé ici dans des acceptions larges, pour désigner des moyens de communication tels que le langage, l'écriture ou la musique, tout autant que pour désigner une technique utilisée ou encore le support physique de stockage, du contenu (dans le cas d'un simple fichier), ou de transfert (dans le cas d'un message). Son utilisation ici évacue la définition commune de média comme moyen impersonnel de diffusion d'informations (comme la presse, la radio, la télévision), utilisé pour communiquer.|
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|tl MICRO OUVERT|l |
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|tl MIXED REALITIES|l hybridation... porosité entre les mondes physiques et virtuels...|
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|tl NOUVELLES SCÉNARITÉS|l |
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|tl PARAGE|l |
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|tl PROBING THE PUBLIC SPACE|l L'environnement numérique d’un coté multiplie les sondes et capteurs discrets dont il parsème les environnements naturels de la vie sociale, et de l’autre offre des plateformes collaboratives de partage des données ainsi recueillies entre nouveaux "herboristes urbains". Se mettre (publiquement) à l’épreuve de l’espace public. (Samuel Bordreuil) |
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|tl PROBLEM SOLVING TRADITION|l |
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|tl SCHIZOPHONIA|l |
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|tl SOFT-CITY / HARD-CITY|l voir notes de lecture [Schoffer]|
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|tl SOUNDMAP|l |
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|tl SOUNDWALK|l A soundwalk is an audio accompaniment to an environment (urban or natural) that may enhance the surroundings by overlaying or by taking over the ambient sound. Soundwalks generally provide directions to the user.|
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|tl STREAMBOX|l terminal/client à la fois d’émission et de réception de streaming, constitué d'un mini-ordinateur embarqué avec un système Linux approprié, et dont la configuration permet de se connecter automatiquement au serveur de streaming (PureData, Icecast2) et d'automatiser la base de données liée à la Locustream SoundMap (environnement PHP/mySQL). En associant d’autres techniques, l’intention est de réaliser un terminal "autonome" (énergétiquement, sans fil) et "mobile" (délivrant la transmission des périmètres filaires sur des zones de connexion plus larges).|
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|tl STREAMING|l |
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|tl SYMPATHIE|l |
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|tl TEMPS RÉEL|l il est possible de ne pas ramener le temps réel à la seule vitesse, à un désir de simultanéité et d'effacement de la durée, mais de l'interroger du point de vue de formes de rythmicité où la lenteur, le suspens, la décélération peuvent trouver leur place. (Jean Cristofol)|
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|tl TARDIS|l Le TARDIS est le vaisseau du Docteur Who. Ce vaisseau est capable de voyager dans le temps et dans l'espace. Tardis signifie Time And Relative Dimension In Space. Le Circuit Caméléon sert au Tardis à se camoufler dans le paysage (en général sous l'apparence d'une cabine bleue (1950s-style London police box). [Tardis] |
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|tl TRAFIC D'AMBIANCES|l |
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|tl VARIABLE MEDIA|l Ce terme s’emploie pour désigner des œuvres dont le volume remplit un espace donné ou occupe un espace inhabituel tel que l’extérieur d’un bâtiment ou une place publique, mais aussi d’œuvres pour lesquelles le processus est aussi important que le produit, et /ou pour lesquelles l’implication de l’interactivité se retrouve à plusieurs degrés. Ceci intègre des questions concernant l’emplacement in-situ de l’œuvre, l’échelle, l’accès public, etc. Dans notre cas, nous y engageons également l’impermanence du ''content'', continuellement mis à jour (flux, streams). http://variablemedia.net/ |
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