locus sonus > Memos BraletLast changed: 2012/03/04 16:27
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StreamsFictions (2005/2007)Nicolas Braletcette page est en cours de rédaction / This page is under construction / página en construcción2007 - Mémoire Nicolas Bralettélécharger / download - (47,4Mo) 2007 - Présentation de l'installation Imaginerrances géo-flottantes - Nicolas Bralettélécharger / download - (4,5Mo) Introduction:Le journal de bord "hors-sol" a pour volonté de tracer des trajectoires et d'indiquer des directions dans le temps partagé au sein du laboratoire Locus Sonus. Il témoigne de ma façon de percevoir la possibilité qu'offre un rapport d'écoute quasi quotidienne de "fenêtres sonores" par le biais de la technique du streaming et montre les pistes qu'une telle pratique a pu engendrer. Pourquoi le titre de journal *"hors sol"? Je considère mes deux années passées dans le laboratoire comme une traversée, un temps ponctué de mises en place et d'élaborations de dispositifs qui ont permis à leur tour une série d'expérimentations. Ce temps, le temps locusien me permet d'ouvrir une zone exploratoire, un territoire en expansion que j'appelle le *monde géo-flottant. Il s'appuie sur des faits réels (relations au réseau humain, temps d'expositions et de performances générées par l'écoute distante et son impermanence. (Impermanence des événements audibles sur les flux streamés, impermanence du nombre des adresses de stream). Tout un rapport au sol et aux lieux est présent du fait de "fenêtres sonores" ouvertes en différentes parties du globe tout en omettant l'aspect visuel de ces derniers. Ce que je perçois est à distance, hors de ma portée rétinienne et tout ce qui est visible passe par l'oreille avec sous mes yeux le lieu dans lequel je me trouve avec toutes ses singularités. Mon regard est alors dans cet intervalle : une tension d'écoute entre une multiplicité de lieux qui irrigue mon imaginaire. Le sol distant que je perçois à l'oreille existe. Il est quelque part avec pour seul contour de l'impermanence sonore qui ne traduit que le son du changement : l'audible des mouvements, leurs reliefs et pour ainsi dire la sensualité des lieux hors. Qu'est-ce qui fait lieux? Ce qui fait lieux est ce qui a lieu, ce qui me touche, que je retiens mais qui continue ailleurs, une qualité de mouvements. C'est aussi ce qui me donne à projeter hors, à imaginer par le manque d'informations. Aussi dans une certaine intimité à vouloir prolonger l'écoute dans le désir de dévoiler quelque chose, il y a presque quelque chose d'érotique propice à la fiction. Aussi je tente de dessiner des tentatives de faire de ces écoutes distantes des historiettes, des prétextes à fictions qui agissent sur mon comportement et dans l'espace où elles prennent formes. Par des juxtapositions de temps à l'écoute, des recompositions de temps écoutés je dé-linéarise le calendrier qui devient comme la partition multicouches du temps recomposé. Le temps devient le lieu à l'imaginerrance, une zone de mouvement d'où je tente de faire émerger des formes comme des témoignages, des trouvailles rapportées d'un voyage qui s'invente à la durée de l'oreille. ContenusLe Journal de bord hors-sol s'articule autour de six parties :
Réalisations
Collaborations : GMEM, Centre National de Création Musicale, Marseille
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Lab 2013/2014: Elena Biserna, Stéphane Cousot, Laurent Di Biase, Grégoire Lauvin, Fabrice Métais, Marie Müller, (Julien Clauss, Alejandro Duque), Jérôme Joy, Anne Roquigny, Peter Sinclair. 2008/2014 — Powered by LionWiki 2.2.2 — Thanks to Adam Zivner © images Locus Sonus webmaster & webdesign : Jérôme Joy contact: info (at) locusonus.org 2004-2014 Locus Sonus |
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